Ortygie
A Syracuse, il ne faut en aucun cas manquer la presqu’île
d'Ortygie (Ortigia) qui n'est autre que la vieille ville de
Syracuse et qui aujourd'hui est rattachée à Syracuse
par quelques ponts.
L'endroit baigne dans un grand calme, , quelques deux-roues
mais pas de voitures. Toute la presqu'île se teinte de
blanc, jaune, ocre, qui reflète le moindre rayon de soleil.
Sur la place centrale -qui plus est, en octobre- nous avons
ressenti une belle impression de paix.
Un guitariste égrenait paisiblement des arpèges
ajoutant à l'atmosphère paisible.
C’est un vrai plaisir que de déambuler
dans les ruelles étroites, à l'ombre des hauts
murs. Toutes les rues, tôt ou tard, débouchent
sur la mer. D'un côté, on arrive au port, ou plus
loin à la Fontaine Aretusa avec ses papyrus et de l'autre
côté, on découvre l'alignement des maisons
du bord de mer.
En fin de journée, les lumières
du soir teintent d'orange les murs des maisons. Il paraît
que la nuit, c'est encore plus beau. Nous n'avons pas vu Ortigia
de nuit, par contre, nous avons découvert Noto en soirée.
Cela nous a donné une idée de ce que pouvait être
Syracuse, une fois la nuit tombée.
Autour de la presqu'île, la mer se pare de bleu, de turquoise,
comme la méditerranée sait si bien le faire un
peu partout, sur son pourtour. |